Loretta Banana

Month: October 2017

Beauté Fatale : mes coups de coeur makeup !

Imaginez une nuit de velours noir, un réverbère qui clignote et éclaire les pavés d’une lumière inquiétante, une ruelle sombre et une silhouette féminine aux jambes interminables et aux bas couture, tout droite sortie d’un film noir.

C’est exactement ce que m’inspirent ces produits de beauté récemment acquis ! Ils sont chacun porteurs d’un glamour au charme presque désuet et vous donneront la sensation d’être une femme fatale d’un autre temps lorsque vous les utiliserez.
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DOLCE & GABBANA – Dolce Matte Lipstick (teinte : Dolce Mamma)
Lors de mon récent voyage à Rome, j’avais une obsession beauté : tester les rouges à lèvres Dolce & Gabbana. J’apprécie beaucoup tester les marques beautés locales lors de mes voyages, alors j’ai donc traîné mes salomés à paillettes jusqu’au grand magasin Rinascente.

J’ai jeté mon dévolu sur le Dolce Matte Lipstick dans sa teinte Dolce Mamma et je ne le quitte plus ! Son odeur de violette poudrée est délicieuse, son application très facile et sa tenue irréprochable ! Son étui est élégant et gravé d’un “Dolce” très chic, et le raisin est affublé d’un DG qu’on a peur d’abîmer en appliquant le rouge à lèvres ! C’est un presque sans faute : je regrette juste qu’il assèche quand même beaucoup les lèvres et qu’il soit si cher (38€ tout de même). Mais c’est un tel coup de coeur que je pense tester d’autres teintes car il est très rare qu’autant de coloris me plaisent dans une seule ligne de rouges !
(éventail : Maison Close)

Fard à paupières MAC x CHARLOTTE OLYMPIA – Teinte : Golden Age
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Souvenez-vous le printemps dernier… Oui, souvenez-vous bien, car vous avez peut-être assassiné votre compte en banque, la faute à la collection Charlotte Olympia pour Mac ! Parmi mes nombreux achats pour cette ligne, cette ombre à paupières que j’avais commandée – je l’avoue – un peu à la va-vite, sans trop réfléchir, pensant que celle-ci serait parfaite pour illuminer mes joues. Car si j’ai appris à me farder un peu plus les yeux qu’avant, je le fais systématiquement avec des fards en poudre, et surtout pas en crème comme celui-ci. Résultat ? Ce petit bijou est resté dans un placard jusqu’au… début du mois d’octobre.

En mauvaise blogueuse que je suis, je l’ai même testé sans le prendre en photo avant (d’où les vilaines traces de pinceau sur la photo), mais je préfère crashtester ce que je vous montre et ne parler que de ce qui me plait ! Et je dois vous avouer que non seulement sa couleur est magnifique, mais le rendu est sophistiqué, sans pour autant assombrir trop le regard (ce que je n’aime pas, étant donné que je porte déjà un épais trait d’eyeliner). Je craignais aussi que son aspect crème ne fasse un effet plissé abominable en fin de journée et laisse un dépôt au niveau de la paupière mobile : rien de tout ça ! (A condition, bien sûr, mesdames et mesdemoiselles, de bien appliquer une base à paupières telle que la Urban Decay !).
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Je l’applique avec mon pinceau pour les yeux reçu dans ma BIRCHBOX d’août il me semble, et qui s’avère être une petite merveille de bonheur pour appliquer les fards à paupières, crème comme poudre !

PUPA Cosmetics – Eyeliner et mascara VAMP!

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Cette petite marque italienne de cosmétiques me rappelle mon enfance, j’avais un paquet de jolis objets qui renfermaient des fards à paupières et gloss, c’était adorable et je les collectionnais avidement ! J’ai donc un attachement tout particulier pour PUPA et quelle surprise de la retrouver à l’aéroport de Rome ! Je me suis donc jetée sur un coffret comprenant cet eyeliner et ce mascarade la ligne VAMP!

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(trousse de beauté : Chantal Thomass)

Et croyez-moi : le titre n’est pas trompeur ! Regard dramatique et résolument fatal ! Je suis absolument dingue de l’eyeliner, qui pourtant est à peine commercialisé 20€, et s’avère bien plus efficace sur la durée que le Marc Jacobs que j’avais payé une petite fortune. Son tracé est impeccable et convient plutôt si vous appréciez un cat’s eyes un petit peu épais. Sa couleur est intense et sa tenue irréprochable. Un sans faute ! (Par contre, c’est votre démaquillant qui doit être costaud !)

Enfin, j’ai pu tester récemment le parfum DUCHESS ROSE de PENHALIGON’S  grâce à mon ami et blogueur La Gent Du Style qui me l’a offert et j’ai été envoûtée par son odeur boisée et sa note de coeur à base de rose. Je suis fascinée par l’univers élégant et vintage du parfumeur Penhaligon’s et je dois dire que ce parfum répond totalement à l’image que je m’en fais. Si à la première vaporisation la fragrance peut sembler un peu masculine, cette impression s’estompe rapidement pour faire éclore une rose sensuelle et mystérieuse. Le parfum laisse un sillage si particulier que je me suis même surprise à me demander d’où venait cette odeur, ayant oublié que je m’étais reparfumée…
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J’ai mis ce petit format dans mon sac, je l’alterne avec mon parfum solide ROSAVIOLA de Diptyque, pour varier les plaisirs. Mais, je crois que le mieux est encore d’aller le sentir par vous-même !

Et vous, quels sont les produits “beauté fatale” qui ne vous quittent pas ? Dites-moi tout !

Mon complexe Jayne Mansfield

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Jayne Mansfield est l’une de ces actrices dont on ne connait pas forcément le nom ici en France, mais dont le visage nous est familier.

Avec sa silhouette pulpeuse de Betty Boop et son minois qui n’est pas sans rappeler Marilyn Monroe, elle fut l’une des figures incontournables du vieil Hollywood. Il y a quelques années de cela, j’ai développé une fascination pour son personnage, chargé de nombreux fantasmes et légendes retracés via la très belle biographie de l’écrivain Simon Liberati que je vous conseille chaudement.

Si je vous parle d’elle aujourd’hui, c’est qu’elle et moi avons une passion non dissimulée pour les intérieurs roses, et même si l’actrice l’avait poussé bien au-delà de ce que j’aurai osé faire chez moi (jetez un oeil à ce superbe article pour vous en rendre compte), il n’en reste pas moins que j’ai développé ce que j’appelle “mon complexe Jayne Mansfield” : un soupçon de kitsch, beaucoup de rose et un univers très Boudoir.

Je me suis amusée à capturer quelques détails de mon intérieur qui me semblaient en adéquation avec l’univers si féminin de Jayne. Vous me suivez ?

 

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Escarpins en résille, perles et satin MENBUR chez GLAMUSE // Platine CROSLEY

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Fauteuil capitonné en velours rose MAISONS DU MONDE // Robe FOREVER21 // Sac pochette avec fermoir art déco ANDRE

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Parfum d’intérieur à poire LADUREE

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Illustration : MZELLE FRAISE // Cadre : IKEA

jaynemansfield8Bonus : mon chat Ulotte qui a décidé d’imposer son museau sur les photos ! ^__^

 

Coquetterie rétro

Pou Pou Pidou ! En bonne junkie beauty que je suis, je trépignais d’impatience à l’idée de vous concocter ce petit post ! D’ailleurs, ce n’est pas l’envie qui me manque de venir clavarder ici bas, mais le temps lui me fait bien défaut en ce moment. Et vous en conviendrez : mieux vaut poster moins mais bien, que beaucoup et n’importe comment. En tout cas, c’est ici ma manière de voir les choses.

Je disais donc qu’aujourd’hui nous allions parler coquetterie, beauté et fraîcheur avec un soupçon de rétro. Car si nos ancêtres étaient elles aussi de grandes coquettes, les formules de leurs produits de beauté n’étaient pas toujours très fraîches et clean. Le débat est pourtant toujours au cœur de nos préoccupations aujourd’hui, et je pense notamment aux perturbateurs endocriniens et autres parabens, mais pensez qu’à l’époque des années 1800 par exemple les femmes s’enduisaient de crème blanchissante à base… de plomb !

L’idée de ce post n’est absolument pas de décrypter les compositions des produits dont je vais vous parler mais plutôt de mettre en lumière quelques uns de mes derniers coups de coeur beauté qui s’inspirent de maquillage vintage ou en sont des rééditions. Vous êtes prêtes ? C’est parti !anna_sui_poudre_translucide_art_deco

  • Poudre libre pour le visage ANNA SUI

Je le confesse : j’ai d’abord acheté ce produit pour son poudrier et sa houppette qui s’accordaient parfaitement à ma salle de bains ! Et je suis allée de très bonne surprise en très bonne surprise avec cette poudre. Son odeur est à tomber (elle est parfumée à la rose), sa couleur (natural beige) qui était la seule qui restait et me semblait un peu trop foncée pour ma carnation se fond finalement parfaitement à mon teint, et son application est très facile et ne nécessite que peu de matière.

Petite précision tout de même : je n’applique pas cette poudre avec la houppette car je ne suis pas certaine que le résultat soit celui que j’attends et je l’utilise en plus en déco ! Je prélève donc ma poudre avec mon pinceau pour le visage de chez TOO FACED.

Le plus : son prix est assez prohibitif (49€) mais ce boitier contient ÉNORMÉMENT de poudre (de quoi tenir de 6 mois à 1 an) et il est possible d’acheter la recharge uniquement !

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  • La poudre de riz de Java de BOURJOIS

Dans la famille des poudres, je demande la poudre de riz ! Produit vintage par excellence, ce produit est une réédition de la mythique poudre de BOURJOIS du même nom, 150 ans après sa sortie. Après avoir longuement hésité pour me l’acheter car je n’avais pas entendu que de bons échos à son sujet, j’ai finalement cédé à l’appel de son écrin beaucoup trop mignon.bourjois_poudre_riz_vintage

J’ai adoré l’odeur de la poudre (addictive et me rappelant les produits de ma mamie) mais également son utilité. Alors attention : vous devez absolument savoir avant de vous l’offrir que son rendu est fortement irisé. La matière est donc à manier avec précaution pour ne pas briller plus fort que le soleil de Cannes en été ! Je la déconseillé également aux femmes ayant un peau grasse, car cela pourrait accentuer rapidement l’effet peau grasse.

C’est en revanche une petite merveille à utiliser en finition de maquillage, sur les pommettes pour donner un peu de relief, ou même sur les paupières pour apporter un peu de glamour subtil et mieux faire tenir votre liner !

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  • Le parfum solide ROSAVIOLA par DIPTYQUE et OLYMPIA LE TAN

Oh ! Quelle odeur délicieuse… Je vous avais parlé de la bougie juste ici, et j’ai lamentablement succombé à son parfum solide. Il est assez rare que je m’enthousiasme sur un parfum (je vous en parlais même ici) mais celui-ci m’a hypnotisée et correspond en tous points à ce que j’aime. Sa composition complète en plus parfaitement mon parfum chéri (Rose Desgranges) donc tous les feux étaient au vert. (Je trouve en effet cela plus vulgaire que le compte Instagram de Kim Kardashian que de se reparfumer plusieurs fois dans la journée avec des parfums qui n’ont rien à voir les uns avec les autres.)rosaviola_diptyque_olympialetan

Son odeur est donc inspirée de celle des rouges à lèvres avec un soupçon de cuir. Enfin, j’aime la désuétude du parfum solide, qui se glisse secrètement derrière l’oreille, au creux du coude ou des poignets… C’est pour moi l’alternative idéale pour me reparfumer subtilement en cours de journée, et je peux vous certifier que son parfum sait autant se faire remarquer qu’un parfum liquide !

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  • La ligne des rouges à lèvres “Authentique” de ROUGE BAISER

Je ne vais pas y aller par 4 chemins : c’est actuellement ma marque de rouges à lèvres favorite ! C’est tout d’abord l’un des premiers rouges que je me suis offert étant jeune fille, mais je n’avais jamais pu revoir cette marque qui me fascinait tant avec son tube Art Déco et son écrin rendant hommage au dessinateur de mode René Gruau. Et c’est au détour d’un Monoprix que j’ai découvert que la marque continuait d’exister !rouge_baiser_lipstick

Pour la petite histoire, ROUGE BAISER est le premier rouge à lèvres indélébile jamais créé dans les années 1900 et qui est vite devenu le petit préféré d’Audrey Hepburn dans les années 50.

Son odeur est proche de la poudre de riz et sent donc le rouge à lèvres de Mamie, son application peut être compliquée si vous n’avez pas l’habitude des rouges à lèvres très mat, mais son rendu est incroyable. Vous avez un rendez-vous amoureux ? Vous pouvez y aller les yeux fermés, ce rouge a hautement passé le crash test du baiser, ce qui parait tout à fait logique compte tenu de son nom si mignon.

Compte tenu de son prix (13€) et de sa tenue (qui pourtant n’assèche pas autant les lèvres que certains autres rouges à lèvres mats), il a le meilleur rapport qualité/prix. Pour l’avoir encore porté hier, il était encore presque intact après avoir ingurgité mon burger veggie ! Une petite retouche, et c’était reparti reparti !rouge_baiser_lipstick_dita_von_teese

Mon préféré est sans conteste la teinte DAHLIA (402), un rouge doux mais intense ! L’ORCHIDEE (teinte 418) est joli mais relativement foncé et apporte un petit côté mystérieux qui me plait bien. Quant à la teinte HIBISCUS (teinte 419), elle est idéale pour l’été, légèrement pailletée, mais elle adhère moins bien sur les lèvres et sa tenue n’est pas aussi parfaite que les deux autres teintes.rouge_baiser_lipstick2

Bisous bisous !

Et vous, dites-moi quels sont vos produits fétiches rétro ou inspirés par le maquillage vintage ?

Dans ma bibliothèque… #1

“Reading gives us somewhere to go when we have to stay where we are.” (Lire nous donne quelque part où aller quand nous avons à rester là où nous sommes)
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On parle souvent coquetterie et chiffons sur le blog, pourtant un sujet qui me passionne a trop longtemps été passé sous silence : les bouquins et la lecture.

Univers passionnant s’il en est, il a bien souvent matière à nous inspirer sur le blog. Et si j’ai pendant longtemps boudé les librairies, préférant la facilité d’un divertissement sur écran, je m’y suis remise il y a quelques temps, tranquillement, le soir ou dans le métro, et je me demande comment j’ai fait pour ne pas ouvrir de livre pendant si longtemps !

Pour débuter cette première chronique, je vais vous parler de 2 bouquins qui ont beaucoup en commun car ils ont chacun une protagoniste qui dresse un portrait de son époque et dont la personnalité très affirmée m’a énormément plu.

Maryse Choisy – « Un mois chez les filles »
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(Déshabillé Folies by Renaud)
Je me suis offert cet ouvrage lors de ma visite de l’exposition « Splendeurs et Misères » au Musée d’Orsay. Ce livre n’a rien d’un roman et tient plus du documentaire puisque le récit est tiré directement du vécu de son auteur, Maryse Choisy, jeune journaliste ô combien féministe pour son époque et qui décide, en 1928, d’infiltrer en secret l’univers opaque, terrifiant, mystérieux et pourtant fascinant des maisons closes pour en dépeindre ses coulisses et ses travers.

D’abord intriguée, j’ai rapidement été absorbée par ce livre que j’ai lu en très peu de temps, curieuse de savoir jusqu’où pourrait aller son auteur. J’y ai découvert cette jeune écrivain à la personnalité vraiment étonnante et qui, je l’imagine, a dû certainement prendre beaucoup de risques pour pouvoir écrire ces pages. « Un mois chez les filles » lui a d’ailleurs permis de connaître rapidement un succès de scandale en écoulant 450 000 exemplaires, selon les affirmations de ses mémoires.
A lire si… vous aimez les années folles, n’avez pas peur des langages parfois un peu crus et si vous aimez les héroïnes fantasques, courageuses et sans langue de bois.

Michelle Gable – « L’appartement oublié »appartement-oublie-marthe-de-florian3
Ce petit bijou de lecture m’a fait rentrer, telle une petite souris discrète, dans l’appartement oublié de la demi-mondaine Marthe de Florian, et dont les lieux sont restés inoccupés et intacts depuis 1942 ! 140 mètres carrés de souvenirs et d’histoires emprisonnés entre ses murs et dont l’auteur, Michelle Gable, retrace l’histoire.

On y découvre donc les secrets enfouis derrière l’épaisse poussière de l’appartement mais je me suis surtout prise de fascination pour sa propriétaire, Marthe de Florian, personnage hautement romanesque qui a côtoyé tout le gratin de Paris et dont la vie palpitante étonne autant qu’elle émerveille. Son appartement, en plein coeur de Paris, est resté près de 70ans dans l’oubli, jusqu’à ce que sa descendance décide de mettre aux enchères tous ses objets collectionnés au fur et à mesure des années, dont un chef d’oeuvre inattendu : son portrait réalisé par le peintre Boldini !
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(Sac bourse Etam, Coussin LORAFOLK x Monoprix – Le roman est livré avec un dépliant rempli des photos de l’appartement !)
Le roman oscille donc entre réalité et roman et entre les destins de deux femmes : Marthe de Florian et April Vogt, personnage de fiction, experte immobilière en charge de dresser l’inventaire de ses biens.
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A lire si… Vous aimez la Belle Epoque (quel plaisir que de découvrir le quartier des Grands Boulevards que je côtoie au quotidien sous un angle différent puisqu’il est le théâtre des histoires de notre héroïne), l’histoire de l’art ou que vous aimez au moins aller chiner les brocantes pour y trouver des trésors (vous allez être servis !).

J’espère que cette première édition vous aura plu et que le sujet littéraire vous intéresse ! J’ai quelques bouquins sublimes dont j’ai hâte de vous parler. Je finirai ce post avec la citation d’un écrivain qui me fascine, James Ellroy, et qui a déclaré ce weekend dans le cadre du Festival littéraire America : « Le temps que les gens passent sur Internet à envoyer des mails, acheter des vêtements, chercher un partenaire sexuel… se fait au dépend de la lecture. » Il serait grand temps qu’on réinvestisse les librairies, pas vrai ?