Loretta Banana

Year: 2019

Mes petits gestes zéro déchet !

Depuis un petit moment, j’avais très envie de partager avec vous des gestes ultra simples que j’ai ajoutés à ma vie quotidienne pour une vie plus jolie et éthique ! Puis en y réfléchissant à deux fois, j’ai pensé qu’il pourrait s’agir- aussi – de fabuleuses idées cadeaux pour les fêtes de fin d’année.

J’essaie, comme beaucoup de personnes, de donner plus de sens aux cadeaux que j’offre, bien que ce ne soit pas toujours évident de sensibiliser à ces sujets et surtout de paqueter le tout de manière attrayante. Pourtant, je vous promets que l’écologie peut être belle, séduisante, pratique et ludique. Vous en doutiez ? Regardez plutôt ces chouettes idées cadeaux (que j’ai mis à exécution dans ma vie de manière durable et qui m’ont convaincue).

Cadeaux zéro déchet pour l’hygiène et la salle de bains
Les cotons et lingettes lavables et réutilisables

Je vous en parlais dans mon premier article sur ce blog ! J’ai intégré les cotons à démaquiller réutilisables (qui peuvent aussi servir pour débarbouiller bébé pour les mamans) depuis plus de 2/3 ans, alors que c’était encore assez peu répandu. Aussi, les cotons que j’avais achetés à l’époque étaient hyper basiques et pas forcément hyper attrayants (mais efficaces, et après tout, c’était déjà pas si mal). Mais maintenant, ils s’habillent de tissus upcyclés, comme chez ma copine Gigette Vintage qui les coud avec amour à la main et les vend dans des ramequins vintage, et vous en trouvez également pléthore sur des plateformes comme Etsy ou même sur Vinted !

Le shampoing et le savon solide 
Là encore, l’offre est désormais pléthorique ! Mon shampoing chouchou est le Sweetie de chez Pachamamaï, il est ultra efficace et sent super bon (là encore, je vous en parlais ici). Je trouve que c’est une jolie idée cadeau pour sensibiliser un proche au zéro déchet, surtout si vous choisissez avec attention les propriétés du shampoing. Pour le savon, il vaut mieux, c’est vrai, partir sur du bio, toutefois pour garder l’aspect esthétique, je ne saurais que vous conseiller d’aller voir ceux du parfumeur Fragonard. Ils sont magnifiques et leurs odeurs sont à tomber (parfaits pour vous gâter vous – bah quoi ? – ou vos mamies, mamans, soeurs, meilleures amies…).

Les culottes menstruelles

On en entend parler maintenant partout (et c’est tellement tant mieux !) et honnêtement, si vous pensez que ça ne semble pas être d’emblée un cadeau de Noël très folichon, c’est que vous n’avez pas vu les modèles qui sont désormais proposés ! Je veux écrire un article sur ce sujet depuis au bas mot deux ans, et vous voyez, toujours rien à l’horizon… Toutefois, voici déjà une introduction à la thématique car ce produit a pour moi, révolutionné ma vie, et mes périodes de menstruation.

Pareil que pour les lingettes, à l’époque le choix était limité, j’aurais voulu acheter local, mais la seule marque qui existait ne proposait que des tailles basses ultra basiques, mais… vous me connaissez un peu maintenant. Hors de question de faire rentrer une culotte “basique” dans mon dressing, surtout à ce prix-là (on ne va pas se mentir, les culottes de règles sont assez chères) et pire encore : taille basse ! Alors, j’ai commandé chez Modibodi UK plusieurs modèles (qui tiennent parfaitement la route et dont l’univers est en plus super inclusif) et qui sont magnifiques : bordés de dentelle noire ou de tulle, parfois même gainantes et glamour, elles sont parfaites pour rester féminine et se consoler même quand notre ventre nous fait souffrir le martyr !

Depuis, l’offre s’est extrêmement développée et j’ai pu voir fleurir par-ci par-là des superbes modèles taille haute sublimes comme chez Rejeanne Underwear (voir photo) et qui a le mérite de fabriquer en France. Chic alors !

Le déodorant solide
Peut-être un peu moins sexy, le déodorant est toutefois, et ce n’est que mon avis, une super idée si vous faites un “coffret” zéro déchet à l’un de vos proches. Mon favori est le classique de chez Lamazuna, je le trouve ULTRA efficace, toutefois, je ne vais pas vous mentir : il arrive que les huiles essentielles présentes dans la composition, finissent par me dessécher les aisselles ou me brûlent. Mais je vous rassure, ces réactions allergiques m’arrivent assez peu fréquemment, et lorsque cela se passe, je switche avec celui à la vanille de Clémence Vivien qui est bio, mais pas zéro déchet (livré dans un pot en verre) et à mon sens un peu moins efficace.


Cadeaux zéro déchet pour la cuisine
Bee wraps

Voilà un tout nouveau geste que j’ai ajouté à ma vie, donc je n’ai pas encore suffisamment de recul, mais il semblerait que ce soit très efficace. Le Bee wrap est un emballage alimentaire écologique à base de cire d’abeille. Il remplace donc allègrement le très polluant cellophane ou l’aluminium (toxique pour la santé), et peut vous permettre aussi pour recouvrir un pot, une assiette ou carrément servir de contenant, pour des fruits ou pâtisseries. Il faut en prendre soin, les laver avec précaution, mais ils sont supposés durer longtemps ! J’ai trouvé les miens dans la boutique Altermundi que j’adore, de la marque Française “Another Way”. Oui madame !

Sachets de thé réutilisables

J’ai découvert ce concept récemment dans une autre boutique que j’adore : le Bazar Bio à bastille (j’ai tellement envie de tout ramener à chaque fois…). Et en cherchant dans leurs sélections de produits toujours très efficaces, pointues et attrayantes, j’ai dégoté des sachets de thé réutilisables. Ni une, ni deux, je les ai embarqués pour en fourrer dans l’une des cases du calendrier de l’Avent que j’ai préparé à mon Doren Pirecci. (Ne vous inquiétez pas pour lui, la case a déjà été dévoilée, aucune surprise n’aura été spoilée). Vous pouvez en trouver dans la plupart des boutiques bio, la marque il me semble s’appelle “Ah Table“.

Les bocaux 
Alors ça, c’est mon objectif 2020. J’ai encore peu l’habitude d’acheter en vrac (surtout car je ne suis pas – encore – équipée), mais en réalité c’est tellement plus écologique, économique et “joli” une fois bien présenté, que vraiment, je dois impérativement m’y mettre ! Pour ce faire : trouver de beaux bocaux de taille et de contenance différentes, à exposer dans la cuisine ou à ranger soigneusement dans ses placards. Sérieusement, je m’y perds avec tous les sachets de riz, de pâtes, ça tombe, ça se ferme mal et puis ça génère beaucoup, beaucoup, BEAUCOUP trop d’emballage en plastoc. Alors pourquoi ne pas (vous) offrir de jolis bocaux vintage pour un effet dépareillé, ou neufs, mais à condition de bien les prendre en verre et de vérifier leur étanchéité. La marque “Ah Table“, oui encore elle, propose aussi un lot qui me semble faire très bien le job.


On passe aux cadeaux “à emporter”, si vous le voulez bien ? Hop, c’est parti !

Cadeaux à emporter
La gourde
Alors ça parait bête, mais il y a, j’ai l’impression, encore beaucoup de gens qui n’en sont pas munis. Par pitié, abandonnez les bouteilles en plastique qui sont si polluantes et investissez dans une gourde ! Nous avons la chance de bénéficier d’une eau qui soit potable, il suffit donc de la remplir au gré de sa journée pour rester hydraté. Bonus : vous pouvez même la remplir de thé glacé l’été ou ajouter un peu de grenadine si vous n’êtes pas fan de son goût. Il existe des tas de gourdes super jolies, et je trouve que c’est un super cadeau de Noël ! Pour compléter, vous pouvez ajouter un morceau de charbon actif, sensé filtrer et purifier l’eau si vous avez vraiment une appréhension à la consommer telle quelle.

Les sacs en tissu

Qu’il soit publicitaire ou arty, les tote bags s’avèrent bien pratiques pour faire ses courses. Ma technique est d’en avoir toujours un sur moi – en plus de mon sac à main – soit en le pliant, soit en y mettant quelques affaires, et je n’hésite pas non plus à toujours y glisser en plus un petit sac pliable. Je suis ainsi toujours parée pour TOUTES mes courses, et à tout instant de la journée. Pour ne pas renoncer au style, j’en ai de toutes sortes : l’un de mes préférés est un What Katie Did (que toutes mes copines pin-up ont aussi, elles se reconnaîtront 💝), et j’adoooore ceux de LucyLooDoodles mais clairement, j’en ai déjà trop pour en commander de nouveaux (mais voilà pour votre inspiration perso).

Les mouchoirs en tissu

Là encore, j’en ai eu par-dessus la tête de devoir passer ma vie à acheter des mouchoirs qui finissaient tous dans la poubelle (pour vous donner un peu le tournis : 30 milliards de mouchoirs en papier sont vendus chaque année en France, et qui finissent, donc ? Devinez où ? Allez, je vous laisse trouver !)

En plus, rien de plus ennuyeux que ce bout de tissu en papier, fade et sans personnalité. Alors ni une ni deux, cet été j’ai été refaire mon stock chez Emmaüs et dans les greniers des grands-parents et j’ai donc tout un éventail de jolis mouchoirs en tissus brodés. Mais si vous voulez les acheter neufs, notamment pour les offrir, il en existe des tas sur le web : sur Etsy, comme ici chez God Save the Tea Time (en photo), Kraftille, ou chez Plim (qui fait aussi des serviettes menstruelles beaucoup trop chouette, mais nous en reparlerons, je vous l’ai promis !) ou bien encore sur le site Mamie Colette (beaucoup trop chou).

Les sacs de “vrac”

Enfin, voilà une idée à coupler avec les bocaux : les sacs de vrac sont super utiles pour vous éviter de devoir utiliser des sacs plastiques lorsque vous acheter vos fruits et légumes, ou justement lorsque vous avez besoin de remplir vos bocaux de pâtes, riz, lentilles… Ils sont super pratiques ! Les miens, je vous le donne en mille… viennent, encore, de chez “Ah Table (promis ce post n’est pas sponsorisé par cette marque 😂). Bien que basiques niveau design, ils sont illustrés de repères qui vous aident à y voir clair sur la contenance, selon l’aliment que vous achetez, et il existe différents formats également. Toutefois, si vous préférez qu’ils soient un peu plus fancy et ornés de motifs, vous en trouverez pléthore sur le web !

Et voilà, je vais m’arrêter ici pour aujourd’hui ! J’espère que cette petite sélection green, zéro déchet mais parfaitement jolie vous aura intéressés mais aussi inspirés pour les fêtes de fin d’année et 2020. N’hésitez pas aussi à me donner vos astuces zéro déchet en commentaires 💚

Chiner vintage en dix commandements

Voilà, ce n’est un secret pour personne : depuis que je suis petite, je suis fascinée par le vintage et l’élégance d’autrefois. Puis entre temps, j’ai été happée par la fast fashion, avant d’y renoncer définitivement (vous référer ici pour l’historique). Et comment dire ? Faire le saut dans l’achat de seconde main et de vintage, c’est un peu comme tomber dans le terrier d’Alice ! Un nouveau monde s’ouvre à vous !

(En photo : une robe dégotée chez Emmaus, que j’ai laissée passer une première fois et que j’ai toutefois retrouver une semaine plus tard ! Quant à ces petits toutous, il s’agit d’une broche trouvée dans une brocante à Paris et qui m’a amenée à parler d’Art Deco, de Miami et de bakélite avec sa précédente propriétaire : voilà ce que j’aime aussi dans le vintage : l’amour des pièces d’autrefois que l’on partage !)

Comment s’y retrouver ? Où aller ? Quel budget y consacrer ? Cet article ne répondra pas à toutes ces questions, mais je les développerai ultérieurement, mais parce qu’il faut bien commencer quelque part et surtout parce que je reçois régulièrement quelques petits messages sur Instagram, j’ai décidé de me lancer !

Tout d’abord, les géniales Myrtille (qui a notamment lancé son podcast sur le sujet dont je ne loupe pas un épisode) et Nawal développent aussi ces thématiques sur leur blog et je vous conseille vivement d’aller les lire. Ensuite, pour tout vous avouer, j’ai eu moi aussi un tas d’idées reçues sur la seconde main et je m’en suis désormais totalement défaite. J’avais une image de fringues poussiéreuses, pas forcément en bon état… Et on ne va pas se mentir : ça peut parfaitement être le cas. Mais on oublie aussi qu’il existe un choix incroyable de vêtements sublimes qui n’attendent que de vivre une seconde vie ! Voici donc mes 10 commandements pour dégoter ces petites merveilles !

1. Acceptez les éventuels défauts
Et oui ! Je parle notamment pour le vintage : certains vêtements ont plusieurs décennies à leur actif, alors il faut faire preuve d’un peu d’indulgence à leur égard. Et puis pensons un instant à ces vêtements de fast fashion qui ne survivent même pas à une saison complète… Vous pouvez bien accepter un petit défaut pour un vêtement qui a plus de 20 ans, pas vrai ? Un accro dans la doublure ? Une maille qui se fait la malle ? Cela arrive, et tant que cela reste réparable/invisible lorsque vous le portez, ça n’a pas tellement d’importance. De même : un vêtement un peu trop grand peut facilement être remis à votre taille par un bon retoucheur (ou veinarde, par vous-même si vous êtes une fortiche de la couture #jalousie).

Toutefois : veillez à ce que le prix soit cohérent avec ce que vous achetez. Et attention aussi aux vendeurs peu scrupuleux, qui mettent en vente des pièces dans un état déplorable, en prétextant que “c’est normal c’est vintage” (et croyez-moi, je l’ai déjà vu plus d’une fois !), parce que non, ce n’est pas parce que c’est vintage qu’on peut vendre tout et n’importe quoi, et même si c’est une marque prestigieuse ! J’ai d’ailleurs déjà eu le cas sur Vinted (ma seule et unique mauvaise expérience). 

2. Inspectez le vêtement/accessoire sous toutes les coutures

ça, c’est vraiment devenu mon cheval de bataille. Je le faisais peu avant – et dieu merci, pas de mauvaise surprise – mais c’est vraiment essentiel pour justement éviter les déceptions. L’autre jour, j’avais repéré une sublime jupe en velours de pin-up absolument parfaite, seul hic (de taille) : la fermeture était endommagée. Je me suis remerciée de l’avoir bien inspectée car j’allais partir sans l’essayer… Ce qui m’amène au point suivant ! (Et pour Vinted, n’hésitez pas à redemander des photos, ou à repréciser l’état avec le vendeur, pour être bien sûr que vous êtes sur la même longueur d’ondes !).

3. Essayez ce que vous trouvez
Alors là, je suis un peu de mauvaise foi car je vous implore de le faire, alors qu’il m’arrive de m’en dispenser. A vrai dire, j’ai horreur de devoir me déshabiller pour essayer un vêtement, qui plus est lorsqu’on accumule les couches par temps d’hiver. Pourtant, comme pour n’importe quel habit, ça permet d’être fixé une fois pour toutes sur la trouvaille et de mieux se projeter. Pour Vinted, là c’est un peu plus problématique alors je me contente juste d’acheter ce qui me semble jouable niveau taille. Je m’abstiens uniquement sur les pantalons via car j’ai beaucoup de mal à trouver des coupes qui mettent ma silhouette en valeur et c’est trop complexe d’acheter sans essayer.

4. N’achetez que si le coup de coeur est immédiat
Je suis une collectionneuse, les dressing minimalistes, ce n’est vraiment pas pour moi (je vous jure que je me sens déguisée en jean-basket, et je ne pense même pas avoir de tee-shirt blanc uni – c’est un comble quand je raconte ça aux gens qui ne me connaissent pas, mais bon, on ne se refait pas !). Et clairement, j’ai beau régulièrement faire du tri, ma penderie reste un abysse de vêtements (que j’aime et que je porte). Pour toutes ces raisons, et parce que l’idée est quand même clairement de consommer mieux, je m’abstiens – autant que faire se peut – des achats d’hésitation. Il faut vraiment qu’il se passe un truc quasi viscéral, que je me projette mentalement avec le vêtement. Généralement, j’essaie de voir si j’ai déjà un vêtement similaire (et dans ces cas-là, je repose) ou si justement, c’est quelque chose de nouveau (par la couleur, la forme, etc) et que je serai en mesure de porter souvent, d’assortir facilement et que je prendrai plaisir à porter. Sinon, hop ! Ciao !

5. Lire les étiquettes
Toujours pour filtrer au mieux mon achat, je regarde la composition, le pays de fabrication, la marque s’il y en a une. Souvent ces données sont plus fluctuantes ou difficiles à appréhender pour le vintage. Ne serait-ce que parce que les tailles de l’époque diffèrent des nôtres (un 38 actuel = un 40 voire 42 vintage). L’étiquette permet aussi de mieux dater l’époque du vêtement et je n’hésite pas à googler le nom des marques pour en savoir davantage sur leur histoire. J’aime tellement ce petit travail d’historienne, même si c’est un réel apprentissage et qu’il est tout de même assez rare de trouver des étiquettes sur les vêtements vintage surtout antérieurs aux années 50 (de nombreux vêtements étaient faits à la main ou par des couturières, et l’accès à des vêtements de marque était tout de même réservé, j’ai le sentiment, à une élite à cette époque-ci).

Pour la seconde main, c’est beaucoup plus simple : ce sont des marques contemporaines, alors il suffit plutôt de se concentrer sur vos goûts puis sur la composition et le pays de fabrication. Mes filtres personnels (qui sont aussi ceux de ma chère Karine) sont d’éviter le polyester et les matières synthétiques, pour leur aspect écologique désastreux (ils créent des micro-particules de plastique lors du lavage qui se retrouvent ensuite déversés dans les océans) mais aussi pratique : ces matières sont, je trouve, souvent fort désagréables à porter et me font transpirer. Toutefois, il m’est arrivé d’acheter des robes en matière synthétique vintage, mais les tissus étaient de bien meilleure qualité (j’ai réussi à tenir avec + de 40 degrés en Louisiane avec certaines d’entre elles !).

6. Répertorier les lieux de chine
Ici, je ne parle pas des superbes boutiques/eshops vintage qui proposent déjà des sélections merveilleuses, bien rangées, où il suffit de déambuler parmi les portants pour trouver des merveilles. Ces lieux, je les fréquente et les adore, et je serai d’ailleurs ravie de vous lister mes préférés, mais je vais plutôt me concentrer sur l’aspect “bonnes affaires”. Là, c’est bien simple : il vous suffit de chercher près de chez vous les boutiques solidaires (type Emmaus) et de vous y rendre régulièrement. Il n’y a pas de secrets : c’est en y allant souvent que vous tomberez sur des pépites. Suivez également les brocantes et surtout les vide-greniers de particuliers, c’est là-bas que vous trouverez des trésors à des prix imbattables (il y a plusieurs sites tels que vide-greniers.org ou brocabrac.fr qui répertorient les brocantes par quartier et par jour) . Mon autre terrain de chasse : Vinted, et ça vous devez le savoir si vous me suivez sur Instagram. La technique reste la même : beaucoup de patience et de la méthode (je n’ai pas peur de viser très large dans mes recherches car beaucoup de vendeurs ne savent pas correctement répertorier/nommer leurs vêtements, et d’expérience, je trouve les recherches pointues beaucoup trop restrictives).

En somme, pour espérer faire de bonnes affaires, le combo vide-grenier + boutiques solidaires + Vinted est imparable ! Emmaus possède notamment un arsenal de boutiques impressionnant, et avec ses propres spécificités. Par exemple, pour les marques premium en seconde main, la boutique Emmaus de Beaumarchais est parfaite, ou “Bis Boutique” juste un peu plus haut, vers le métro Filles du Calvaire.

En ce qui me concerne, préférant le vintage, je regarde plutôt les boutiques qui proposent des ventes sur ce thème. Ensuite, vous avez également toutes les enseignes de type Guerrisol, Kiloshop… Mais j’avoue que je ne m’y rends quasiment jamais et l’aspect beaucoup trop sale me rebute un peu. (Mais ma copine Nawal m’a donné une super bonne astuce : se munir de gants en plastique pour aller fouiller dans le fin fond des bacs.. sinon, mains dégoûtantes assurées >-<).

7. Choisir le bon moment
Mieux vaut privilégier vos visites en début de semaine et à heures creuses (si cela est possible), notamment le matin, car vous êtes ainsi à peu près sûrs d’avoir du choix et d’éviter la foule. Vraiment je déteste chiner dans la cohue, il y a une espèce d’excitation commune qui peut autant être grisante que stressante/déroutante ! Lorsque j’étais rentrée bredouille de la vente au kilo vintage au Palais de la Femme organisée par Emmaus, j’y suis allée un vendredi en fin de journée. C’était toujours mieux que le samedi, mais il n’y avait plus grand chose, et la salle était vraiment bondée de visiteurs. Moi, je suis vintage : je suis une mamie, et tout ça me donne vite le tournis ! Hahaha ! Donc pour faciliter vos recherches et gagner en efficacité, l’idéal est d’y aller tôt donc, et en semaine. Et quant au samedi et au dimanche : il vous reste Vinted pour chiner depuis votre canapé !

8. Se la jouer solo
Alors oui, je sais : chiner, ça fait plaisir et on a envie de partager ses trouvailles avec ses amis. Mais honnêtement : je suis souvent bien plus efficace lorsque je suis seule et que je m’octroie le temps nécessaire pour tout fouiller. Tout ceci mérite concentration, essayage, et donc temps devant soi ! (Alors on donne rdv à ses amis juste après pour le petit verre de Chardonnay ! > Ceci n’est pas valable si vous avez suivi mon commandement n°7, à savoir y aller tôt le matin !)

9. S’y rendre sans idées précises
Bon, il est vrai qu’avoir déjà une idée de ce que vous souhaitez ou ce dont vous avez besoin peut vous guider. Mais gardez-le dans un coin de la tête, et allez-y sans a priori. J’essaie toujours de ne pas attendre quoi que ce soit, déjà pour ne pas être déçue si je rentre bredouille, mais surtout pour ne pas formater trop mon esprit et rater quelque chose de potentiellement très cool. J’essaie juste de garder mes filtres habituels (détaillés plus haut), et de laisser mon imagination fonctionner. Les boutiques solidaires et brocantes vous exposent souvent le produit brut (quand les jolies boutiques usent de stratagème et de merchandising pour vous donner envie d’acheter – et c’est normal, c’est leur boulot), il faut donc parfois un peu (voire beaucoup !) d’imagination pour imaginer porter certaines choses. Alors si un tissu, une coupe, une couleur, voire même la beauté d’une étiquette m’interpelle, je m’arrête, je prends le temps d’observer et de réfléchir. Je ne prends pas forcément ma trouvaille, mais je me laisse le temps de la réflexion.

Enfin, c’est parfaitement normal aussi de ne pas toujours trouver votre bonheur. Cela peut parfois même se répéter… Mais bon, ça ne doit pas vous décourager et sachez aussi que d’autres sont peut-être passés juste avant vous ! Ce qui m’amène au point suivant, qui sera aussi le point final !

10. Ne pas trop hésiter !
Le vintage, de par sa définition, est unique ! Vous ne le trouverez sur personne d’autre. C’est une énorme qualité et c’est si galvanisant de trouver LA pièce parfaite ! Mais ça a aussi un défaut de taille : celui de le rater définitivement si vous le laissez passer. Loin de moi l’idée de vous pousser à la consommation (et je pense que vous l’aurez compris, de par la rigueur des filtres que je m’oblige à suivre et que je vous conseille de pratiquer aussi), mais une fois que votre trouvaille est partie, elle est partie définitivement ! Et a moins d’un coup de bol monumental (qui peut toutefois arriver), vous avez peu de chances de retomber à nouveau dessus. Je l’ai vécu plus d’une fois : trouver ce petit trésor, repartir sans, puis revenir et qu’il ait déjà trouvé un nouveau propriétaire… C’est le jeu, ma pauvre Lucette, mais si vous l’aimez et que votre trouvaille répond à tous vos désirs et critères, ne réfléchissez pas à deux fois !

Et voilà ! J’espère que ces quelques conseils, ma foi plutôt basiques mais toutefois utiles, auront pu vous donner de nouvelles pistes et surtout n’hésitez pas à partager en commentaires vos éventuels commandements et bonnes adresses ! 💌

 

Halloween @Disneyland Paris

En grande fan d’Halloween et de Disneyland, je ne rate jamais une occasion de brandir mon pass annuel pour m’immerger dans cette atmosphère délicieusement effrayante – mais toujours bien accompagnée !

Il y a donc quelques semaines, nous avons passé la journée là-bas avec mes amis Bulle de Mint et Doren Pirecci, avons pris quelques photos avec Maléfique et profité des sublimes décors ! Le spectacle d’Ursula et les méchants est vraiment incroyable et j’ai également adoré la parade de Phantom Manor (par contre, attention, il n’y a que 2 représentations par jour !).

En bref, c’était une merveilleuse occasion de s’entraîner pour Halloween qui approche à grands pas, et nous avons donc intégré quelques petits détails diablement hantés à nos tenues.

En ce qui me concerne, rien de neuf : je continue de me tenir à ne plus acheter dans les grandes enseignes, et cela fait d’ailleurs désormais un an que j’ai cessé de consommer dans les grands magasins et enseignes de fast fashion ! (Pour tout vous dire, j’ai fait l’effort de me rendre dans une boutique récemment pour voir leur collection Halloween avec des monstres rétro et honnêtement, le monde, cette overdose de vêtements en polyester et la piètre qualité des tissus m’ont définitivement convaincue que je n’avais plus rien à acheter chez eux !)

Mes seuls écarts de l’année se résument à 5 articles : un jean taille haute parfait que je compte bien mettre plusieurs années et un cardigan rose intemporel, puis des vêtements trouvés lors de mon voyage aux USA : un tee-shirt Frankenstein déniché à Universal, une robe The Dress Shop à Disney, une robe Unique Vintage à l’effigie de la Creature of the Black Lagoon, et c’est tout !

Je trouve cela plutôt raisonnable, pour moi qui suis en pleine rédemption d’achats compulsifs ! Je vends au fur et à mesure tout ce que je ne mets plus/ne me va plus (ce qui m’a d’ailleurs permis de financer une partie de mon voyage), je donne aussi énormément (à des associations ou à mes amies si je sais que cela peut leur plaire) et j’achète tout en vintage/seconde main, et mieux encore : je mets ce qu’il y a dans mon placard !

On y trouve d’ailleurs ma tenue de ce Disney, à savoir un vieux pull ASOS à motif toile d’araignée, je l’aime toujours autant, et cette jupe que j’avais achetée sur Top Vintage il y a longtemps. Mes sandales vernies sont des Damart (oui madame !) trouvées pour 3 fois rien, neuves, sur Vinted, et mon sac est un cadeau de mes amies.

Sur ce, je vous laisse et vous prépare pour bientôt un article avec des idées de sorties terrifiantes pour Halloween !

Mes podcasts creepy préférés

Mes podcasts favoris #1 : les creepy ! 👻

Voilà environ trois ans que j’ai ajouté ce geste simple à ma routine, et je dois dire que je ne pourrais plus m’en passer ! Lorsque je me maquille, que je conduis ou simplement que je prends le métro et que j’ai les yeux trop fatigués pour ouvrir mon bouquin, je lance mon application Podcasts et je me laisse porter par les histoires et informations qui me sont contées.

J’en suis tellement dingue que j’ai même convertie ma maman qui régulièrement me fait des updates sur les histoires de serial killer qu’elle a écoutées (les chiens ne font pas des chats !).

“Joignez vos mains durant cette sacro-sainte écoute des podcasts les plus terrifiants de France et de Navarre !”

Alors voilà : si les sujets d’histoire, de tueurs en série, d’ectoplasmes ou de féminisme vous intéressent, alors il se pourrait bien que ma sélection vous fasse de l’œil (ou de l’oreille, hahaha). Comme j’ai beaucoup à dire à ce sujet, je vais consacrer plusieurs articles à ceux-ci. Mais pour débuter, je me devais de sélectionner mes thèmes favoris… les creepy, spooky, freaky, bref, les podcasts flippants !

Je commence donc par ceux qui ont ma préférence : les podcasts traitant de surnaturel, de serial killer ou de mystères sont de loin mes préférés ! Je me force à écouter d’autres sujets mais clairement, 70% de mes écoutes sont faites de cela.

Outre le paranormal qui est un sujet qui me fascine sans pour autant m’effrayer mais surtout auquel je crois (j’en parlais ici), j’avoue avoir un irrésistible attrait pour les histoires de tueurs. Non pas que je sois fascinée ou éblouie par leurs forfaits, loin de là, mais c’est souvent leur personnalité, leur cheminement psychologique et ce que leurs crimes révèlent sur la société de l’époque que je trouve intéressants. Alors les podcasts sont un moyen rapide de se documenter et surtout d’avoir un éclairage par des spécialistes sur des affaires qui ont secoué (parfois) les médias.


 HONDELATTE RACONTE

Grande fan de son émission télévisée devant l’Éternel, le podcast d’Hondelatte sur Europe1 s’est également glissé sur le podium de mes écoutes favorites. Le format est suffisamment long pour obtenir un niveau de détails satisfaisant et pour mieux appréhender chaque histoire, sans pour autant être trop dense. Si au départ ses épisodes se concentraient sur des récits de tueurs, les thèmes se sont peu à peu diversifiés sur des sujets d’actualité moins dramatiques (mais toutefois intéressants). Enfin, ce que je préfère et adore tout simplement, c’est le jeu d’acteur que Hondelatte utilise pour faire parler les personnages de ses histoires ! Il n’hésite pas à prendre des accents, des voix improbables, c’est parfois ridicule mais je n’y peux rien : j’en suis fan !

> S’il ne fallait en écouter qu’un :

Honnêtement ils sont tous très bons (comme la plupart des podcasts de cette liste), toutefois je vous invite à écouter celui sur les maisons hantées de la journaliste Patricia Darré qui m’a donné envie de lire son bouquin (dont je parlais aussi ici). C’est 100% paranormal et ça s’écoute un soir sans lune, caché sous son plaid !


 DISTORSION :

Mes petits Canadiens préférés ! Tout d’abord j’adore leur accent et leurs voix chaleureuses ! Ils sont drôles et attachants, et font un boulot de documentation incroyable ! Leur créneau ? Allier mystère et numérique au travers d’histoires actuelles. Ils parlent aussi bien de légendes urbaines ou d’étrangetés qui naissent sur des forums ou des chats, que de faits divers sanglants qui ont un lien avec le monde digital. Outre leur récit qui recontextualise toujours avec justesse le sujet, j’aime surtout écouter leurs théories, qu’ils détaillent avec une précision chirurgicale pour tenter de percer le mystère. Bref, je n’en loupe jamais un !

> S’il ne fallait en écouter qu’un :

Sans hésiter, je vous conseille celui sur Elisa Lâm, jeune femme disparue au sein du tristement célèbre Cecil Hotel, établissement maudit de dowtown L.A, ayant hébergé en son sein de nombreuses histoires lugubres et autres tueurs en série (je me demande même si je ne devrais pas dédier un article à ce sujet, comme je l’avais fait pour le Dahlia Noir ?). (Si vous avez vu la saison Hotel d’American Horror Story, alors vous devriez faire le lien, puisque l’établissement en est l’inspiration principale.)

La malheureuse fut retrouvée au terme de plusieurs jours dans la citerne sur le toit de l’hôtel dans des circonstances parfaitement inquiétantes, tandis que la LAPD diffusait des vidéos extraites des caméras de surveillance prises quelques jours avant dans l’ascenseur…Cette histoire m’avait perturbée à l’époque où le fait divers avait été diffusé, d’autant que je me rendais justement à L.A 2 ou 3 mois après… J’avais lu énormément d’articles traitant de cette affaire mais j’ai quand même réussi à apprendre un tas de nouvelles choses en écoutant ce podcast !

Je vous laisse l’écouter pour vous faire votre propre opinion sur ce qui a pu lui arriver (et mes commentaires restent ouverts si vous avez une théorie sur le sujet).


 L’HEURE DU CRIME

Inutile de vous faire un roman à son sujet : Jacques Pradel est un peu le spécialiste ès criminologie, et ce podcast ne fait que confirmer cette vérité ! Dans la même veine qu’Hondelatte, Pradel revient sur les événements marquants de faits divers et ses émissions sont souvent éclairées par l’analyse ou le témoignage d’invités. Cela rend les histoires riches d’anecdotes et apporte un éclairage et une profondeur à ses sujets. Ses podcasts s’écoutent très bien et font la part belle à des histoires d’assassinat plutôt qu’à des histoires surnaturelles. 

> S’il ne fallait en écouter qu’un :
Je vous avais déjà évoqué l’un de ses podcasts sur le mystère du Dahlia Noir, qui est sans conteste mon épisode préféré pour toutes les raisons évoquées dans mon article sur le sujet. Toutefois, comme je suis sympa, je vais vous en lister un autre à vous mettre sous la dent, illico presto et qui m’a conduite à la lecture d’un ouvrage fort intéressant. Cet épisode relate l’histoire du “Diable dans la Ville Blanche” (en référence au livre d’Erik Larson qu’il va aussi falloir que je lise et a priori bientôt adapté à l’écran par Scorcese et Leonardo Di Caprio !), ou en d’autres termes sur la vie et “l’oeuvre” si j’ose dire, de H.H. Holmes. 

Ce personnage haut en couleurs a sévi durant les années 1890 à Chicago et serait l’un des plus grands serial killers que ce monde ait jamais connu. Pharmacien de métier, H.H. Holmes donnait l’apparence d’un homme bien sous tous rapports, jusqu’à ce qu’il soit démasqué pour des faits d’escroquerie de grande envergure mais surtout pour avoir assassiné au moins 200 personnes dans son “hôtel”, ouvert durant l’exposition universelle de 1893. Et tenez-vous bien : son antre possédait, entre autres choses, un crématorium, une chambre à gaz et une table de dissection. Un vrai Air BnB du bonheur ! 

Si vous avez vu, une fois encore, la saison “HOTEL” d’American Horror Story, alors vous devriez faire le lien avec l’un des personnages.

Mais pour en savoir davantage, et surtout pour ne pas vous spoiler, je ne saurais trop vous conseiller que d’écouter ce podcast qui est éclairé par Alexandra Midal, autrice d’un ouvrage incroyable et que j’ai tout simplement adoré : “La manufacture du meurtre”.

Le sujet de son essai est disséqué dans l’épisode, mais globalement, pour vous faire une idée, elle met en parallèle l’essor de l’industrialisation de l’époque et tout ce qui va avec (production à la chaîne) et l’industrialisation du “meurtre”, puisque ce bon H.H. Holmes a rendu possible le meurtre à grande échelle et en a même tiré de l’argent (oui oui, je vous laisse lire/écouter pour savoir comment il s’y est pris). Ce qui au final, est encore le cas aujourd’hui avec les abattoirs (et une cause qui me tient grandement à coeur). Car oui, rappelons tout de même que les abattoirs ne sont rien d’autre que de la tuerie industrialisée.


PLEINE LUNE

En voilà une chouette découverte, tout droit venue de Suisse Romande (RTS). Déjà, je suis fan de ce concept : livrer un podcast bien flippant chaque soir de pleine lune ! A dire vrai, il est rare que je les ai écoutés au moment de leur sortie, mais le plus souvent, c’est toujours une fois que la nuit est tombée. Le format est conséquent (un peu plus d’1h environ par épisode), et je salue leur récit, toujours extrêmement bien narré, et leurs analyses excessivement fouillées. La qualité de ce podcast est impressionnante et je tenais donc à vous en parler car Anne Flament et Mickael Marquet, les deux journalistes, méritent vraiment d’être connus.

Mais rentrons dans le vif du sujet : le podcast Nuit Blanche a pour vocation de décortiquer une histoire vraie, dont les frontières touchent avec l’étrange, le mystérieux et/ou le carrément flippant. Je crois qu’à ce jour il y a environ 9 podcasts, et je n’en ai plus à me mettre sous la dent, il me va falloir attendre la prochaine pleine lune. Ahouuu !

> S’il ne fallait en écouter qu’un :
Bon, j’ai évidemment adoré celui sur le Cecil Hotel (voir plus haut) et c’est d’ailleurs grâce à ce sujet que j’ai déniché ce podcast. Mais bon, si je vous laisse avec celui-ci, vous allez dire que je ne suis que mono-sujet, que je radote et tout et tout. Mais honnêtement, j’ai adoré tous leurs podcasts, alors choisissez-en un au petit bonheur la chance, il y a fort à parier que vous ne serez pas déçus ! (Bon, sinon, vous pouvez toujours commencer par Jack l’éventreur, mais : âmes sensibles s’abstenir !💀)


LE BUREAU DES MYSTERES
Et on termine la série de ces longs podcasts par celui de Charles et Mathias, deux journalistes qui inspirent la sympathie lorsqu’on les écoute, alors même qu’ils nous narrent des choses bien terrifiantes ! Je pense qu’ils font partie des premiers podcasts flippants que j’ai écoutés, et sincèrement je ne m’en lasse pas une seconde ! Chaque épisode compile un certain nombre d’histoires qui touchent à l’étrange, le bizarre, le surnaturel et qu’ils concluent toujours avec le “degré de mystère”, à savoir si l’énigme a trouvé une réponse ou pas du tout. On ne cherche pas du surnaturel à tout prix, et c’est ce qui est cool, car au final, il y en a pour tous les goûts !

S’il ne fallait en écouter qu’un :
Là encore, difficile de n’en choisir qu’un, d’autant que, comme je vous l’expliquais, il y a plusieurs histoires par podcast, et forcément il y a plusieurs histoires dans PLUSIEURS podcasts que j’ai adorées ! Là encore, vous pouvez y aller un peu au hasard, promis, vous ne serez pas déçus ! 🤓


Cette première et donc très très longue sélection de podcasts est à présent terminée ! Je la conclue en vous invitant à prolonger le plaisir en lisant différents ouvrages : Le bureau des Mystères tout comme Distorsion ont publié leur premier livre dans lesquels vous pourrez retrouver des histoires angoissantes à vous mettre sous la canine. Je vous invite également, comme je vous le disais plus haut, à lire “La Manufacture du Meurtre” d’Alexandra Midal. Et si comme moi, vous n’en avez jamais assez : je vous conseille, dans un registre vidéo, les chaînes YouTube de Sonya Lwu et de Liv pour encore plus d’histoires angoissantes !

J’espère que cela vous aura plu et surtout n’hésitez pas à me dire si vous souhaitez plus d’articles traitant de sujets mystérieux et angoissants ! Je ne l’exploite pas encore beaucoup ici, mais ça me plairait d’en faire davantage. A bientôt et n’oubliez pas de regarder sous votre lit avant de vous coucher ce soir 👻