Loretta Banana

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Lancement de ma boutique d’accessoires vintage : Joli Coeur Vintage

Cela faisait des mois que l’idée me travaillait. Avoir un petit espace, rien qu’à moi, même virtuel, dans lequel je pourrais prolonger mon amour des objets anciens et coquets. Aller débusquer des merveilles pour vos beaux yeux et vous permettre de leur donner une nouvelle vie et une seconde histoire. Ainsi est né Joli Coeur Vintage.

Le vintage et la fascination pour les objets anciens ont toujours fait partie de ma vie, j’aimais déjà aller chercher frénétiquement des PollyPockets et des vieux bijoux dans les brocantes lorsque j’étais petite et que j’y vendais d’ailleurs accessoirement mes jouets ! J’étais fascinée par les ondulations des vedettes Hollywoodiennes et je rêvais d’un jour porter leurs robes et parures.

J’aime l’idée qu’un objet puisse nous raconter son histoire, même si nous la montons de toute pièce. Son allure, son époque, son état, son étiquette sont autant d’éléments et d’indices qui permettent de retracer son historique. Ce sont des énigmes que j’adore résoudre et pour moi qui aime écrire, ce sont forcément des univers connexes.

Il m’a cependant fallu travailler pour mettre de côté mon syndrome de l’imposteur, mes craintes, mes doutes et tout ce qui pouvait me parasiter dans la création de ce nouveau projet. Aussi modeste soit-il, je suis toujours submergée par ce genre de pensée, surtout lorsqu’il s’agit d’une activité nouvelle. Mais voilà, après tout, l’envie se faisait plus forte que les doutes, alors j’ai décidé de saisir ma chance, tant que mon emploi du temps et ma conjonction actuelle me le permettent.

En somme, le vintage et les trésors qui le composent ont cela de fascinant qu’ils permettent de se créer un style bien à soi, en réutilisant des objets déjà existant. Je prends d’ailleurs soin de sélectionner avec beaucoup d’attention mes pièces vintage, qu’elles soient pour moi ou pour ma boutique Joli Coeur Vintage. C’est tout aussi important ! Je choisis mes trésors selon leur état (les défauts doivent être acceptables et légers), leur époque et surtout leur esthétisme. Je veux absolument être fière et satisfaite de ce que je mets en ligne, et cela prend beaucoup de temps. Trouver la bonne pièce (selon mon univers), surtout en ce moment, c’est du travail. Je m’occupe ensuite de faire des recherches pour dater du mieux que je le peux l’objet.

Néanmoins, je ne suis pas historienne de la mode ni antiquaire et je peux me tromper. Sachez cependant que je passe beaucoup de temps à regarder des publicités et magazines d’époque, à lire des ouvrages sur ces sujets et surtout à me renseigner sur chaque pièce pour être la plus exacte possible. C’est un passage qui demande beaucoup de temps mais je ne vais pas vous mentir : j’adore m’y atteler.

De plus, les objets et accessoires vintage sont souvent plus résistants et de bien meilleure qualité que ce qui est proposé sur le marché actuellement. Le choix de la seconde main et du vintage est donc une option qui coche toutes les cases, selon moi : avoir un style unique tout en favorisant un mode de vie plus écologique et responsable.

Néanmoins, je ne retrouvais pas forcément mon univers dans les boutiques vintage en ligne que je pouvais trouver en France mais plutôt quelque chose dans ce goût du côté des US et de l’Angleterre. Je voulais vraiment quelque chose qui ressemble à 100% à ce que j’aimerais trouver. Ma passion pour les bijoux raffinés, les sacs de dame et ce petit je-ne-sais-quoi, un univers à mi-chemin entre Midge Maisel et le grenier d’une mamie qui aurait vécu ses heures de gloire sur la French Riviera dans les années 40/50 !

Alors voilà, j’ai commencé à chiner pour Joli Coeur Vintage, sans trop réfléchir, comme si j’achetais pour moi. J’espère sincèrement que mon univers et mes trouvailles vous plairont, car j’y ai vraiment mis tout mon coeur.

Et qui sait où ce projet un jour me portera ? En tout cas, retrouvez-moi sur Joli Coeur Vintage et si un trésor vous intéresse, n’hésitez pas à me dire que vous venez depuis le blog, je vous glisserai une surprise !

 

Look d’hiver ❄

Si vous me suivez sur Instagram, alors vous avez déjà dû apercevoir quelques unes des photos de cet article ! Toutefois, je n’ai pas résisté à l’envie de les poster, tout d’abord car je n’étais pas revenue ici depuis la fin d’année 2019, et puis parce que j’ai très envie de continuer à publier par ici en 2020. Je profite d’ailleurs de cette petite introduction pour vous souhaiter une année pétillante 🥂✨ (et oui, j’ai encore le droit, le mois n’est pas terminé !), scintillante, heureuse, remplie de résolutions positives pour vous, la planète, de jolies trouvailles vintage, de plumes, de love mais surtout de #selflove et bien sûr une santé de fer ! Rendons ce saut dans les années 20 aussi inspirant que ce qu’il a été il y a 100 ans !

Pour en revenir à ma tenue et donc à des considérations un poil plus triviales, je porte “d’anciennes” pièces, que je vous avais déjà montrées (telles que cette jupe damart) mais aussi quelques merveilles vintage qui ont récemment rejoint mon dressing. Notamment mon petit chapeau, daté des années 50, en velours émeraude et que j’avais dégoté lors de mes vacances dans le sud l’été dernier, ainsi que cet adorable sac (en si bel état !) tout en crochet, acheté dans une boutique vintage à Vevey, en Suisse, lors des vacances de Noël (j’y ai aussi trouvé une nuisette bleue babydoll et un joli bracelet, le tout pour moins de 40 francs suisse !).

J’ai en revanche fait une légère entorse à mes principes d’achats uniquement vintage/seconde main puisque je n’ai pas résisté à l’appel de cette si jolie cape inspirée par la Reine des Neiges, shoppée à Disneyland. Sa composition était honnête et sa doublure aussi jolie que les gros flocons qui l’ornent m’ont fait flancher, alors bon, voilà, vous savez tout !

Les photos ont été réalisées par mon amie Bulle de Mint. Et promis, pour 2020, mes looks seront shootés aussi ailleurs qu’à Disneyland, bien que je vous l’annonce tout de go : j’ai renouvelé mon pass annuel !

Chiner vintage en dix commandements

Voilà, ce n’est un secret pour personne : depuis que je suis petite, je suis fascinée par le vintage et l’élégance d’autrefois. Puis entre temps, j’ai été happée par la fast fashion, avant d’y renoncer définitivement (vous référer ici pour l’historique). Et comment dire ? Faire le saut dans l’achat de seconde main et de vintage, c’est un peu comme tomber dans le terrier d’Alice ! Un nouveau monde s’ouvre à vous !

(En photo : une robe dégotée chez Emmaus, que j’ai laissée passer une première fois et que j’ai toutefois retrouver une semaine plus tard ! Quant à ces petits toutous, il s’agit d’une broche trouvée dans une brocante à Paris et qui m’a amenée à parler d’Art Deco, de Miami et de bakélite avec sa précédente propriétaire : voilà ce que j’aime aussi dans le vintage : l’amour des pièces d’autrefois que l’on partage !)

Comment s’y retrouver ? Où aller ? Quel budget y consacrer ? Cet article ne répondra pas à toutes ces questions, mais je les développerai ultérieurement, mais parce qu’il faut bien commencer quelque part et surtout parce que je reçois régulièrement quelques petits messages sur Instagram, j’ai décidé de me lancer !

Tout d’abord, les géniales Myrtille (qui a notamment lancé son podcast sur le sujet dont je ne loupe pas un épisode) et Nawal développent aussi ces thématiques sur leur blog et je vous conseille vivement d’aller les lire. Ensuite, pour tout vous avouer, j’ai eu moi aussi un tas d’idées reçues sur la seconde main et je m’en suis désormais totalement défaite. J’avais une image de fringues poussiéreuses, pas forcément en bon état… Et on ne va pas se mentir : ça peut parfaitement être le cas. Mais on oublie aussi qu’il existe un choix incroyable de vêtements sublimes qui n’attendent que de vivre une seconde vie ! Voici donc mes 10 commandements pour dégoter ces petites merveilles !

1. Acceptez les éventuels défauts
Et oui ! Je parle notamment pour le vintage : certains vêtements ont plusieurs décennies à leur actif, alors il faut faire preuve d’un peu d’indulgence à leur égard. Et puis pensons un instant à ces vêtements de fast fashion qui ne survivent même pas à une saison complète… Vous pouvez bien accepter un petit défaut pour un vêtement qui a plus de 20 ans, pas vrai ? Un accro dans la doublure ? Une maille qui se fait la malle ? Cela arrive, et tant que cela reste réparable/invisible lorsque vous le portez, ça n’a pas tellement d’importance. De même : un vêtement un peu trop grand peut facilement être remis à votre taille par un bon retoucheur (ou veinarde, par vous-même si vous êtes une fortiche de la couture #jalousie).

Toutefois : veillez à ce que le prix soit cohérent avec ce que vous achetez. Et attention aussi aux vendeurs peu scrupuleux, qui mettent en vente des pièces dans un état déplorable, en prétextant que “c’est normal c’est vintage” (et croyez-moi, je l’ai déjà vu plus d’une fois !), parce que non, ce n’est pas parce que c’est vintage qu’on peut vendre tout et n’importe quoi, et même si c’est une marque prestigieuse ! J’ai d’ailleurs déjà eu le cas sur Vinted (ma seule et unique mauvaise expérience). 

2. Inspectez le vêtement/accessoire sous toutes les coutures

ça, c’est vraiment devenu mon cheval de bataille. Je le faisais peu avant – et dieu merci, pas de mauvaise surprise – mais c’est vraiment essentiel pour justement éviter les déceptions. L’autre jour, j’avais repéré une sublime jupe en velours de pin-up absolument parfaite, seul hic (de taille) : la fermeture était endommagée. Je me suis remerciée de l’avoir bien inspectée car j’allais partir sans l’essayer… Ce qui m’amène au point suivant ! (Et pour Vinted, n’hésitez pas à redemander des photos, ou à repréciser l’état avec le vendeur, pour être bien sûr que vous êtes sur la même longueur d’ondes !).

3. Essayez ce que vous trouvez
Alors là, je suis un peu de mauvaise foi car je vous implore de le faire, alors qu’il m’arrive de m’en dispenser. A vrai dire, j’ai horreur de devoir me déshabiller pour essayer un vêtement, qui plus est lorsqu’on accumule les couches par temps d’hiver. Pourtant, comme pour n’importe quel habit, ça permet d’être fixé une fois pour toutes sur la trouvaille et de mieux se projeter. Pour Vinted, là c’est un peu plus problématique alors je me contente juste d’acheter ce qui me semble jouable niveau taille. Je m’abstiens uniquement sur les pantalons via car j’ai beaucoup de mal à trouver des coupes qui mettent ma silhouette en valeur et c’est trop complexe d’acheter sans essayer.

4. N’achetez que si le coup de coeur est immédiat
Je suis une collectionneuse, les dressing minimalistes, ce n’est vraiment pas pour moi (je vous jure que je me sens déguisée en jean-basket, et je ne pense même pas avoir de tee-shirt blanc uni – c’est un comble quand je raconte ça aux gens qui ne me connaissent pas, mais bon, on ne se refait pas !). Et clairement, j’ai beau régulièrement faire du tri, ma penderie reste un abysse de vêtements (que j’aime et que je porte). Pour toutes ces raisons, et parce que l’idée est quand même clairement de consommer mieux, je m’abstiens – autant que faire se peut – des achats d’hésitation. Il faut vraiment qu’il se passe un truc quasi viscéral, que je me projette mentalement avec le vêtement. Généralement, j’essaie de voir si j’ai déjà un vêtement similaire (et dans ces cas-là, je repose) ou si justement, c’est quelque chose de nouveau (par la couleur, la forme, etc) et que je serai en mesure de porter souvent, d’assortir facilement et que je prendrai plaisir à porter. Sinon, hop ! Ciao !

5. Lire les étiquettes
Toujours pour filtrer au mieux mon achat, je regarde la composition, le pays de fabrication, la marque s’il y en a une. Souvent ces données sont plus fluctuantes ou difficiles à appréhender pour le vintage. Ne serait-ce que parce que les tailles de l’époque diffèrent des nôtres (un 38 actuel = un 40 voire 42 vintage). L’étiquette permet aussi de mieux dater l’époque du vêtement et je n’hésite pas à googler le nom des marques pour en savoir davantage sur leur histoire. J’aime tellement ce petit travail d’historienne, même si c’est un réel apprentissage et qu’il est tout de même assez rare de trouver des étiquettes sur les vêtements vintage surtout antérieurs aux années 50 (de nombreux vêtements étaient faits à la main ou par des couturières, et l’accès à des vêtements de marque était tout de même réservé, j’ai le sentiment, à une élite à cette époque-ci).

Pour la seconde main, c’est beaucoup plus simple : ce sont des marques contemporaines, alors il suffit plutôt de se concentrer sur vos goûts puis sur la composition et le pays de fabrication. Mes filtres personnels (qui sont aussi ceux de ma chère Karine) sont d’éviter le polyester et les matières synthétiques, pour leur aspect écologique désastreux (ils créent des micro-particules de plastique lors du lavage qui se retrouvent ensuite déversés dans les océans) mais aussi pratique : ces matières sont, je trouve, souvent fort désagréables à porter et me font transpirer. Toutefois, il m’est arrivé d’acheter des robes en matière synthétique vintage, mais les tissus étaient de bien meilleure qualité (j’ai réussi à tenir avec + de 40 degrés en Louisiane avec certaines d’entre elles !).

6. Répertorier les lieux de chine
Ici, je ne parle pas des superbes boutiques/eshops vintage qui proposent déjà des sélections merveilleuses, bien rangées, où il suffit de déambuler parmi les portants pour trouver des merveilles. Ces lieux, je les fréquente et les adore, et je serai d’ailleurs ravie de vous lister mes préférés, mais je vais plutôt me concentrer sur l’aspect “bonnes affaires”. Là, c’est bien simple : il vous suffit de chercher près de chez vous les boutiques solidaires (type Emmaus) et de vous y rendre régulièrement. Il n’y a pas de secrets : c’est en y allant souvent que vous tomberez sur des pépites. Suivez également les brocantes et surtout les vide-greniers de particuliers, c’est là-bas que vous trouverez des trésors à des prix imbattables (il y a plusieurs sites tels que vide-greniers.org ou brocabrac.fr qui répertorient les brocantes par quartier et par jour) . Mon autre terrain de chasse : Vinted, et ça vous devez le savoir si vous me suivez sur Instagram. La technique reste la même : beaucoup de patience et de la méthode (je n’ai pas peur de viser très large dans mes recherches car beaucoup de vendeurs ne savent pas correctement répertorier/nommer leurs vêtements, et d’expérience, je trouve les recherches pointues beaucoup trop restrictives).

En somme, pour espérer faire de bonnes affaires, le combo vide-grenier + boutiques solidaires + Vinted est imparable ! Emmaus possède notamment un arsenal de boutiques impressionnant, et avec ses propres spécificités. Par exemple, pour les marques premium en seconde main, la boutique Emmaus de Beaumarchais est parfaite, ou “Bis Boutique” juste un peu plus haut, vers le métro Filles du Calvaire.

En ce qui me concerne, préférant le vintage, je regarde plutôt les boutiques qui proposent des ventes sur ce thème. Ensuite, vous avez également toutes les enseignes de type Guerrisol, Kiloshop… Mais j’avoue que je ne m’y rends quasiment jamais et l’aspect beaucoup trop sale me rebute un peu. (Mais ma copine Nawal m’a donné une super bonne astuce : se munir de gants en plastique pour aller fouiller dans le fin fond des bacs.. sinon, mains dégoûtantes assurées >-<).

7. Choisir le bon moment
Mieux vaut privilégier vos visites en début de semaine et à heures creuses (si cela est possible), notamment le matin, car vous êtes ainsi à peu près sûrs d’avoir du choix et d’éviter la foule. Vraiment je déteste chiner dans la cohue, il y a une espèce d’excitation commune qui peut autant être grisante que stressante/déroutante ! Lorsque j’étais rentrée bredouille de la vente au kilo vintage au Palais de la Femme organisée par Emmaus, j’y suis allée un vendredi en fin de journée. C’était toujours mieux que le samedi, mais il n’y avait plus grand chose, et la salle était vraiment bondée de visiteurs. Moi, je suis vintage : je suis une mamie, et tout ça me donne vite le tournis ! Hahaha ! Donc pour faciliter vos recherches et gagner en efficacité, l’idéal est d’y aller tôt donc, et en semaine. Et quant au samedi et au dimanche : il vous reste Vinted pour chiner depuis votre canapé !

8. Se la jouer solo
Alors oui, je sais : chiner, ça fait plaisir et on a envie de partager ses trouvailles avec ses amis. Mais honnêtement : je suis souvent bien plus efficace lorsque je suis seule et que je m’octroie le temps nécessaire pour tout fouiller. Tout ceci mérite concentration, essayage, et donc temps devant soi ! (Alors on donne rdv à ses amis juste après pour le petit verre de Chardonnay ! > Ceci n’est pas valable si vous avez suivi mon commandement n°7, à savoir y aller tôt le matin !)

9. S’y rendre sans idées précises
Bon, il est vrai qu’avoir déjà une idée de ce que vous souhaitez ou ce dont vous avez besoin peut vous guider. Mais gardez-le dans un coin de la tête, et allez-y sans a priori. J’essaie toujours de ne pas attendre quoi que ce soit, déjà pour ne pas être déçue si je rentre bredouille, mais surtout pour ne pas formater trop mon esprit et rater quelque chose de potentiellement très cool. J’essaie juste de garder mes filtres habituels (détaillés plus haut), et de laisser mon imagination fonctionner. Les boutiques solidaires et brocantes vous exposent souvent le produit brut (quand les jolies boutiques usent de stratagème et de merchandising pour vous donner envie d’acheter – et c’est normal, c’est leur boulot), il faut donc parfois un peu (voire beaucoup !) d’imagination pour imaginer porter certaines choses. Alors si un tissu, une coupe, une couleur, voire même la beauté d’une étiquette m’interpelle, je m’arrête, je prends le temps d’observer et de réfléchir. Je ne prends pas forcément ma trouvaille, mais je me laisse le temps de la réflexion.

Enfin, c’est parfaitement normal aussi de ne pas toujours trouver votre bonheur. Cela peut parfois même se répéter… Mais bon, ça ne doit pas vous décourager et sachez aussi que d’autres sont peut-être passés juste avant vous ! Ce qui m’amène au point suivant, qui sera aussi le point final !

10. Ne pas trop hésiter !
Le vintage, de par sa définition, est unique ! Vous ne le trouverez sur personne d’autre. C’est une énorme qualité et c’est si galvanisant de trouver LA pièce parfaite ! Mais ça a aussi un défaut de taille : celui de le rater définitivement si vous le laissez passer. Loin de moi l’idée de vous pousser à la consommation (et je pense que vous l’aurez compris, de par la rigueur des filtres que je m’oblige à suivre et que je vous conseille de pratiquer aussi), mais une fois que votre trouvaille est partie, elle est partie définitivement ! Et a moins d’un coup de bol monumental (qui peut toutefois arriver), vous avez peu de chances de retomber à nouveau dessus. Je l’ai vécu plus d’une fois : trouver ce petit trésor, repartir sans, puis revenir et qu’il ait déjà trouvé un nouveau propriétaire… C’est le jeu, ma pauvre Lucette, mais si vous l’aimez et que votre trouvaille répond à tous vos désirs et critères, ne réfléchissez pas à deux fois !

Et voilà ! J’espère que ces quelques conseils, ma foi plutôt basiques mais toutefois utiles, auront pu vous donner de nouvelles pistes et surtout n’hésitez pas à partager en commentaires vos éventuels commandements et bonnes adresses ! 💌